Moi oui, dans la plupart des cas. À l'exception de ce genre de situations exceptionnelles que je viens d'évoquer. Mais il est clair qu'avec les nouvelles générations de smartphones et de technologies de connexion assorties, Mobile Search s'apprête à effectuer une percée importante.

Et nous n'avons même pas encore parlé du véritable enjeu financier : les annonces dites ‘location-based'.

Ça n'a pas échappé aux gens d'Emarketer.com. Cette semaine, ils ont écrit qu'actuellement les telcos, fabricants de GSM, éditeurs et autres sociétés Internet se bousculent au portillon pour devenir le ‘champion du mobile search'.

Il faut dire que l'enjeu est considérable. Certaines sources parlent d'un marché qui avoisinerait les 1,5 milliards de USD pour 2011, d'autres entrevoient même plus de 11 milliards de USD pour 2008.

C'est évidemment assez risible, ces écarts dans les pronostiques, mais vous saisissez l'esssentiel : mobile search is big.

Par ailleurs, ces prédictions divergentes ont ceci d'intéressant qu'elles démontrent clairement que comme le marché n'est pas encore venu à maturité, l'avenir reste impénétrable.  En d'autres mots : il reste des opportunités pour ceux qui veulent s'engager dans la voie mobile. Même s'il faut évidemment avoir de la graine de champion pour empêcher les géants classiques de la recherche (ou plutôt : LE géant de le recherche) de ravir le titre de vainqueur.

Si vous voulez cogiter tout ça sur une terrasse estivale, devant un verre de pastis, surfez sur ce lien.