Ainsi, 40 personnalités politiques belges ont été sélectionnées pour cette étude. Leurs présences et activités sur Facebook, Twitter, Wikis et YouTube ont été observées entre le 28 mars 2009 et le 28 mai 2009. Il en ressort que la plupart des politiciens belges n’ont pas compris la mentalité des réseaux sociaux : l’interactivité est quasi inexistante, le potentiel viral des internautes est inexploité, il y a un réel manque de personnalisation et d’identification et les politiques s’y sont souvent pris trop tard et ont vu les réseaux sociaux comme un phénomène de mode et non comme un outil de communication.