Comment Lunch Garden se transforme grâce au digital

La chaine de restaurants belge fait un grand pas dans la numérisation. Le déploiement de sa stratégie de transformation digitale se base sur l’optimisation des processus business et l’élévation de l'expérience client. Explications.

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La plus grande chaîne de restaurants en Belgique mise sur la numérisation pour assurer son plan de croissance stratégique 2025. Une stratégie qui s’appuie à la fois sur l’optimisation des processus business, mais également sur l’amélioration de l'expérience client. 
À cet effet, la marque s'est associée à l’éditeur de logiciels SAP et à la société de conseil Ctac pour automatiser les tâches manuelles et répétitives.

« L'un des plus grands défis informatiques de Lunch Garden sont les tâches manuelles et répétitives. En outre, le système ERP actuel est limité et l'absence de vision en temps réel des données constitue un obstacle important. Le système offre également peu de possibilités de connecter d'autres outils et programmes », explique Ann Biebuyck, CEO de Lunch Garden. 

Les résultats que Lunch Garden souhaite atteindre à court et moyen terme avec ce projet de transformation numérique ont été clairement définis. « Les processus de l'entreprise seront encore optimisés, les processus financiers essentiels seront automatisés, les clôtures mensuelles seront accélérées et les bases d'une gestion centralisée des données seront posées ». 

« L'IT est l'un des facteurs les plus importants pour façonner notre stratégie de croissance, dans laquelle le client occupe une place centrale. Les clients d'aujourd'hui et de demain souhaitent vivre l'expérience Lunch Garden de différentes manières : dans le restaurant, mais aussi via différents outils tels que des applications de commande », poursuit Ann Biebuyck, CEO de Lunch Garden. 

Pour réaliser ses ambitions futures, Lunch Garden avait également besoin d'une base informatique solide qui s'appuie désormais sur SAP S/4 HANA pour fournir les informations nécessaires et les relier à la base de données CRM de l’entreprise. 
« Cela permettra, dans un délai maximum de trois ans, de saisir davantage de données en temps réel, et donc d'interagir encore mieux avec les clients et leurs équipes locales ».

 
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