Les acteurs clés du secteur de l’e-commerce disent vouloir œuvrer en faveur du développement durable. Par exemple, en investissant dans les énergies renouvelables et des bâtiments plus écologiques, Amazon a pour objectif d’atteindre le zéro carbone en 2040.

Par ailleurs, la plateforme Cross Border Commerce Europe a récemment publié un Top 100 des marketplaces transfrontalières les plus durables d’Europe. Les dix premières places reviennent à des entreprises américaines, dont Ebay, qui sort grand gagnant de ce classement. Du côté belge, on retrouve la société Delcampe, à la 71ème position. Il s’agit ainsi de la première plateforme d’e-commerce la plus durable en Belgique.

D’une manière générale, pour diminuer l’impact de leur activité sur l’environnement, les e-commerçants  doivent travailler sur deux axes principaux: les emballages et la logistique. Concernant les emballages, il s’agit de réduire leur empreinte écologique en les recyclant et en adaptant leur taille et leur poids. D’un point de vue logistique, cela consiste à repenser les transports, comme le fait de tout livrer en une seule fois ou d’instaurer un système de retour au moment de la livraison.

Au niveau des avantages, en revoyant les emballages et la logistique, les marques ont la possibilité de réduire leurs coûts. De plus, les consommateurs étant attentifs aux efforts fournis par les marques, cela peut leur permettre de renforcer la fidélisation de leurs clients.

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