Qui détrône Google ?

L'hégémonie de Google au pays des moteurs de recherche est indéniable. Mais rien n'est éternel et il y a de grandes chances que Google perde un jour sa place de premier moteur de recherche. Ou peut-être pas ? Une chose est sûre : la menace ne vient pas des grands ou des initiatives nationales préparées avec faste par des pays comme la France ou l'Allemagne, mais bien des petites start-ups qui ont une ‘bonne idée'.

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Telle est la teneur de l'article paru hier sur le site néerlandais Nrc.nl, qui esquissait un tableau de la situation au pays des moteurs de recherche.

Nous y lisons notamment comment le projet paneuropéen Quaero, dont nous nous faisions l'écho il y a quelques années, se trouve dans une impasse après des querelles internes et des opportunités de financement. Au début de l'année, l'Allemagne a elle aussi entamé un projet baptisé Theseus, qui a récemment reçu le feu vert pour un financement du gouvernement allemand à concurrence de 120 millions d'euros. La France souhaite également cette approbation de l'Europe pour un projet de 90 millions d'euros.

Nrc.nl précise que cela semble beaucoup, mais qu'il ne s'agit que d'une fraction de ce que dépense Google. Il subsiste en outre des doutes quant à la motivation de ces initiatives.

Qu'est-ce qu'une bonne motivation ? Henk Van Ess sur Nrc.nl : « des programmeurs qui ont une passion ». Son argumentation : Google connaît une pression croissante et il existe diverses start-ups qui peuvent rendre la vie difficile à Google en s'appuyant sur leurs avantages intrinsèques et leur approche obstinée. Nous en distinguons quatre sortes : les moteurs de recherche sémantiques, les moteurs de recherche en grappe, les moteurs de recherche humains et les moteurs de recherche niches.

En cliquant sur le lien ci-dessous (en NL), vous découvrirez les principaux noms par type, ainsi qu'un complément de texte et d'explication.
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