L’inutilité de la plupart des tweets est désormais chiffrée: dans 40% des cas, leurs auteurs auraient mieux fait de s’abstenir. Il ressort d’abord de l’étude que Twitter est l’un des cinq sites de réseau social les plus utilisés. Et sa crédibilité s’est accrue depuis que les messages proviennent aussi de la maison blanche. Les troubles en Iran après les récentes élections contestées ont aussi ajouté de la visibilité à ce média nouveau. 

Bien sûr, les tweets portent parfois sur l’actualité diffusée par les medias, mais près de la moitié sont de vaines plaintes sur l’absence de parking à proximité d’un magasin ou sur le prix exorbitant d’une bière en terrasse.

Derrière les 40% de futilités viennent les conversations en temps réel (37.55%). La diffusion d’information est donc réduite à la portion congrue.