OMD retient 5 enseignements:
 
- Le Community Marketing ne fonctionne que si le « community seeding" est pratiqué quotidiennement.
- La création d’un fanclub, un événement, un groupe, un profil ou une application semble à première vue être un jeu d’enfant. Il est cependant conseillé de laisser cela aux mains de professionnels afin d’éviter d’éventuels problèmes techniques.
- Les termes tels que « clicks », « taux de clicks », « coûts par clicks » ont peu d’importance dans ce contexte.
- Le Community Marketing est encore trop souvent perçu comme étant seulement une partie « tactique » de la stratégie de communication d’une campagne déterminée. Une approche à long terme est recommandée.
- Le contrôle de la diffusion de la marque est difficile à contrôler. La chance qu’une campagne belge se répande à travers le monde est très grande.

« Beaucoup de questions nous ont été posées ces derniers mois par nos clients à propos du Community Marketing et nous sentons une réelle envie de la part des annonceurs de s’y aventurer. Etant donné que cette nouvelle approche s’intègre dans notre stratégie globale, nous sommes partis du même principe pour nos campagnes Superbad, Foam City (Sony) en Got2be (Henkel) », commente Siska Truyman, Digital Team Manager de OMD.