Buzz en ligne pour les préservatifs Manix

Véritable défi que celui de convaincre un public revendiquant son droit au bonheur qu'un préservatif peut être le partenaire idéal dans cette quête de plaisir. Défi relevé par l'agence McCann pour son client Manix (Ansell).

post-image-3

Après une campagne ciblée sur les campus universitaires et dans les cinémas, une campagne d'affichage torride en juillet et août crée un buzz se poursuivant désormais sur Internet.

Le nouveau site www.manix.be permet en effet aujourd'hui de découvrir comment jouissance et préservatif qualitatif peuvent faire bon ménage, notamment grâce aux photos d'un shooting sulfureux et un concours original pour les plus intrépides.

La marque Manix entendait acquérir une plus grande notoriété auprès de celles et ceux qui achètent leur préservatif dans la grande distribution. Un seul leitmotiv : un préservatif peut offrir un plaisir égal sinon supérieur à celui goûté dans une relation classique. C'est de ce postulat qu'est née chez McCann Bruxelles l'idée de fusion totale et du plaisir qui, indubitablement, en découle.

Pour atteindre cet objectif, McCann a demandé à deux mannequins enlacés de se coucher… sur la palette graphique pour ne plus faire qu'un. Une image qui fut dans un premier temps (avril 2008) diffusée dans les universités et les cinémas via les réseaux Campus et Cineposter. Pour l'été, ce sont les 21 et 38 m² qui sont privilégiés, entraînant automatiquement bon nombre de commentaires, plusieurs articles de presse et chroniques en prime time sur les ondes, par exemple, de Nostalgie.

Désormais, McCann poursuit cette quête de plaisir intense sur le net grâce à un site permettant aux visiteurs les plus intrépides de gagner chaque semaine jusque fin novembre un kit exclusif « Get Closer » renfermant la large gamme Manix en racontant à tous leur expérience la plus chaude et sensuelle.

Le site offre également l'opportunité de voir (et revoir) les images censurées d'un shooting qui ne manquera pas d'induire bien des émotions à ceux qui se demandaient encore ce que « fusion totale » pouvait signifier.

Back to top button
Close
Close