"C’est BMW qui fut notre tout premier client, il y a 25 ans. Au fil des ans, nous avons construit une relation particulièrement forte avec la marque premium, mais pas seulement ! Nous avons également développé notre portefeuille clients. Arpeggio est actif principalement en Belgique, au Luxembourg, aux Pays-Bas et en France pour des clients comme BMW, MINI, BMW Motorrad, Belfius, Vanden Borre Kitchen, Entremont et Jordan. Pour BMW, nous réalisons des campagnes dans d’autres pays comme l’Allemagne, le Japon, la Nouvelle-Zélande et l’Australie. Malgré l’envie de montrer nos compétences en dehors de notre petit royaume, nous voulons rester une agence entièrement 100% belge et indépendante", expliquera Maxime Paquet.

Comment expliquer cette expansion ? "C’est sans aucun doute notre façon de travailler qui attire les clients" nous dira le second Managing Partner, Ben Deglinne. "Nous sommes de véritables Solutions Providers. De la stratégie sur mesure à l’exécution finale, nous cherchons à avoir une vision d’ensemble pour proposer la meilleure solution et pour chacune des missions que les clients nous confient. Pour y arriver, il n’y a pas de secret ! Nous pouvons compter les uns sur les autres grâce à un solide esprit d’équipe. Et nous avons rassemblé plus de 20 experts de la com'. Si les nombreuses années d’expertise sont un plus, l’agence se distingue par sa réactivité et sa disponibilité. Paroles de clients !

"Il est vrai que l’agence a connu une forte évolution au cours des 8 dernières années" nous dira Martin Deliège, le 3e Managing Partner chez Arpeggio. « Nous avons d’ailleurs été récompensés pendant deux années consécutives par une très belle place lors des Trends Gazelles 2020 et 2021. Digimedia nous a également bien placés dans le ranking des 100 meilleures agences digitales de Belgique.

Nous voulons poursuivre cette tendance positive et ferons le maximum pour un avenir aussi florissant. Notre rebranding est un témoin de notre ambition à faire toujours mieux pour les 25 années à venir ! Et ça commence dès aujourd’hui." conclut Martin Deliège.