Des experts chez le spécialiste de la sécurité Check Point ont découvert que des pirates peuvent se ménager une position avantageuse leur permettant non seulement d’orienter des éléments de preuve en leur faveur, mais également de créer et de propager de fausses informations.

Cette vulnérabilité de l’appli WhatsApp rendrait ainsi trois types d’attaque possibles.
La première permettrait de modifier la réponse envoyée à une personne, en vue de lui faire dire des choses qu’elle n’a jamais dites.
La seconde de citer un message dans une réponse dans le cadre d’une conversation de groupe pour donner l’impression que ce message provient d’une personne qui, en réalité, ne fait même pas partie de ce groupe.
Tandis que la troisième permettrait d’envoyer un message à un membre d’un groupe qui prend les apparences d’un message de groupe mais qui, en réalité, n’est envoyé qu’à un seul membre. 
En revanche, la réponse de ce membre destinataire sera envoyée à l’ensemble du groupe.