Home/ Start-up /La start-up anversoise Localyse analyse le trafic avec Google Maps La start-up anversoise Localyse analyse le trafic avec Google Maps ODIQ est un nouvel outil d’information routière belge pour contrôler l’accessibilité et la mobilité. Développé par la start-up anversoise Localyse, l'outil est désormais prêt à être commercialisé. 2017-11-21Comment Toute entreprise réalisant des travaux d'utilité publique ou de voirie doit étudier la façon dont elle réduira les perturbations de la circulation ", a déclaré Chris Hoogwys, CEO de Localyse. "Ces mesures nécessitent généralement beaucoup de matériel comme l'ATR (Automated Traffic Recorder). Grâce à notre nouvel outil ODIQ, cela n'est plus nécessaire. Il s'agit d'une énorme économie." ODIQ utilise Google Maps et fonctionne comme une solution SaaS (Software as a Service) et est donc très simple d'utilisaton. Le client acquiert une licence par utilisateur et achète ensuite des blocs de consommation supplémentaires en fonction du nombre de kilomètres qu’il entend analyser ", détaille Hoogwys. Il a ensuite accès aux dernières informations comme le temps de flux complet, le temps de retard et la vitesse réelle du trafic. Ces informations sont affichées graphiquement, afin que l'utilisateur puisse rapidement voir les points potentiellement douloureux. En réglant ensuite les feux de signalisation, vous obtenez une circulation plus fluide. Par conséquent, c'est un outil pratique pour tout conseil municipal, service public et entreprise de construction de routes qui veut surveiller l'accessibilité et améliorer la situation de la circulation là où il le peut. Localyse avait déjà créé des solutions sur mesure pour des villes comme Namur et Breda (Pays-Bas). Les principales fonctionnalités ont aujourd’hui été regroupées en un seul outil, ODIQ, à présent disponible pour d'autres clients. Et parce que l'ODIQ est le seul outil qui utilise les informations de Google Maps, il peut être mis en place très rapidement dans n'importe quel pays. Chris Hoogwys a fondé Localyse avec Dirk Lambrechts de Geo Square, et a obtenu pour ce faire le soutien de Cronos Group, le holding qui chapeaute celle-ci. "Ils ont avancé 65 % de l'investissement, surtout en mettant à notre disposition du personnel et des locaux. Ce faisant, nous avons pu démarrer rapidement et être bénéficiaires après un an seulement. Notre chiffre d'affaires double chaque année, soit 2,5 millions € l'an dernier pour 4 à 5 millions € prévus cette année. Nous souhaitons désormais nous étendre au reste de l'Europe sur fonds propres. En octobre, nous ouvrons un bureau en Suisse et si tout va bien, nous devrions nous implanter aussi en France et en Espagne au 2e trimestre de 2018." conclut le fondateur. Newsletter Rejoignez gratuitement la communauté Digimedia et suivez chaque semaine l’actualité Enter your Email address