Le New York Times a du faire face à sa deuxième attaque en moins d'un mois. Pendant que le site était offline, le journal continuait de poster des news via sa page Facebook et un site miroir.

Twitter a pour sa part précisé que la plateforme a été perturbée pendant une heure et demie environ, sans fuite des données personnelles, assure le site de micro-blogging. Le Huffington Post a lui aussi été victime d'un piratage, un hacking revendiqué, là, par l'Armée électronique syrienne.

L'ensemble de ces attaques serraient une réplique aux menaces d'une action militaire imminente en Syrie de la part des Etats-Unis.