Après avoir collaboré avec la Commission des Jeux de Hasard, le groupe Partouche se targue de respecter les nouvelles législations en vigueur en Belgique. L’une des caractéristiques de la nouvelle législation belge est que seuls les opérateurs qui possèdent des «casinos en dur» ou qui créent un partenariat avec ces casinos, peuvent étendre le champ de leur activité sur Internet. Ceci pour faciliter les poursuites en cas de comportement illégal d’un site virtuel.

Partouche (côté en Bourse sur le marché français) exploite 49 casinos. Outre le site www.Partouche.be, le groupe gère d’autres sites de jeux en ligne en Europe, mais il s’agit de la première expérience  permettant d’offrir l’ensemble des jeux tout en assurant la traçabilité du joueur. Lors de son inscription, l’internaute doit fournir son identité et son numéro de registre national. Il reçoit ensuite un mail de confirmation pour authentifier la personne. Après quoi le Commission belge des Jeux remet un « Token » qui confirme que la personne a plus de 21 ans, n’appartient pas à une profession interdite de jeu ou que la personne ne figure pas sur une liste noire. La commission peut intervenir sur le site d’autorité et un joueur ne peut perdre plus de 70 euros de l’heure. S’il perd ce montant 10 heures consécutives, l’internaute est automatiquement bloqué durant 3 jours.

Le site a été conçu avec une équipe de développeurs d’International Gambling Systems (Louvain-La-Neuve) et le centre de données est situé à Liège.

Déjà proposé en 4 langues (bientôt 6), le site belge poursuit une ambition internationale. Selon le porte-parole que nous avons pu contacter, le test a permis de toucher 10.000 personnes, mais le but est de multiplier ce nombre par 10 ou 20 en s’étendant à d’autres pays.

Partouche estime que seuls 25% des joueurs fréquentent à la fois les casinos physiques et virtuels. Les jeunes s’adonnent au poker alors que les plus âgés préfèrent le casino. De même, 90% des amateurs de Poker sont des hommes, contre 60% pour les casinos. Faites vos jeux.