Le bureau du "Labor and Workforce Development" reconnaît qu’un ver pourrait s’être introduit dans son réseau près de 4 semaines avant d’en être extirpé. Cette attaque aurait coûté près de 7,2 millions de dollars à l’organisation. Les informations subtilisées porteraient sur les noms, numéros de sécurité sociale, adresses mail, adresses résidentielles et adresses des anciens employeurs.

En pratique, le ver (W32.qakbot) serait entré dans le système via une clé USB. Une fois en place, le virus télécharge des fichiers, vole de l’information et ouvre une « back door » (porte dérobée) dans l’ordinateur infesté.