Le Cloud selon BitDefender

Alors que la polémique fait rage entre les éditeurs qui croient dans le Cloud et les autres (généralement plus petits), Marc Blanchard, de BitDefender, est un ardent défenseur de la protection dans les nuages, mais avec des limites.

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«Pour lutter contre les attaques «Zero Day» des nouveaux malwares, il est nécessaire de pouvoir faire de la prédiction sur les codes suspects et pour cela, rien n’est mieux que des serveurs distants équipés d’hoctoprocesseurs». L’antivirus local, lui, pondère. L’analyse de fait dans le Cloud et les résultats, disponibles pour tous, sont envoyés en temps réel sur le poste sollicitant. La meilleure manière d’arrêter les spams est aussi d’agir au niveau du Cloud.

En revanche, et contrairement à Symantec, BitDefender ne croit pas dans la technique de «réputation» pour déceler les nouvelles attaques. «Nous avons pris une autre direction et les tests montrent que nous avons raison. Le problème de la réputation est qu’elle ne couvre pas tous les cas de figure. Elle est aussi source de faux positif. La technique de la réputation ne gère pas les failles qui interviennent dans une application légitime».

 

 

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