Une enquête menée par le spécialiste des études de marché IT Vanson Bourne s’est penchée sur la manière dont les décideurs perçoivent l’évolution du rôle de l’IT au sein des entreprises.

Le résultat est sas appel : la majorité des personnes sondées privilégient le cloud hybride pour des raisons de flexibilité et de sécurité. Au détriment du cloud public.

Concrètement, le taux d’adoption du cloud hybride a progressé de 9% depuis 2013; désormais, plus d’un quart des personnes interrogées à travers le monde (27%) a recours à un cloud hybride. A ce titre, 64% des répondants déclarent avoir besoin d’un cloud hybride pour des raisons de flexibilité et de sécurité.

Compte tenu du fait que les départements IT voient s’étioler leur contrôle sur le budget, 71% des personnes interrogées estiment que l’informatique doit se muer en “courtier interne” de services à la demande afin d’aider l’entreprise à croître. Mais 35% des personnes interrogées considèrent que leur entreprise ne dispose pas de suffisamment de connaissances et d’expertise pour pouvoir concrétiser ses priorités opérationnelles.

Pour autant, si le cloud computing continue de gagner en importance, l’enquête révèle qu’à peine 16% des personnes interrogées plébiscitent le cloud public, quelle que soit l’application concernée.

Les applications qui suscitent la méfiance à l’égard d’un cloud public sont la planification financière (39%), la gestion du capital humain (35%) et les ERP (32%).