Bullguard étend son programme de renouvellement de licence à son offre mobile

L’éditeur de solutions de sécurité Bullguard a lancé sa nouvelle appli Mobile Security. Une version totalement différente de la précédente et qui s’intègre dans le programme de renouvellement des abonnements en ligne assurant une marge récurrente aux revendeurs.

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Voici quelques années, Bullguard avait été le premier à accorder, via un site destiné au canal, des marges annuelles lors de la prolongation d’un abonnement Internet Security. Cette opportunité est désormais étendue aux applications mobiles.

une interface renouvelée. Comme par le passé, les applications pour PC et pour Mobiles se vendent via des abonnements séparés, mais permettent, chacun, de protéger trois appareils. Le prix de Bullguard Mobile Security pour trois terminaux est de 19,95 euros.

Martin Jacobs explique que la commercialisation s’effectue via le magasin en ligne de Google Play Store. Après la période d’essai gratuite, le code d’activation est fourni par Bullguard qui, ensuite, rémunère le revendeur lors des réabonnements successifs.

Outre les malwares, la nouvelle appli propose le backup des données et contacts, un antivol (tracking, suppression des données et blocage du système), le contrôle parental sur les smartphones des enfants et un support 7/24. La version de test d’une durée de 15 jours permet d’utiliser toutes les fonctions sur 3 appareils.

Comme par le passé, Bullguard reste spécialisée dans les produits de sécurité pour consommateurs résidentiels, sans viser les entreprises; “Nous faisons ce que nous faisons bien”, argumente Martin Jacobs qui dit aussi ne pas craindre la concurrence des applis de sécurité gratuites. “Elles ne disposent d’aucun support, ou alors il est payant. Or, pour un consommateur, la rapidité de réaction en cas de problème est essentielle.”

Pour la Belgique, Bullguard recherche de nouveaux revendeurs, principalement parmi les indépendants et les petits magasins. . Le modèle de commercialisation de Bullguard n’est toutefois pas orienté à 100% vers le canal. Le fabricant possède son propre site de vente et reconnaît que cela ne fait pas la joie des revendeurs. “On ne recherche pas des parts de marché par ce canal, mais comme nos concurrents, nous devons offrir cette possibilité”, justifie Martin Jacobs.

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