1 bureau d'ingénierie sur 2 inquiet pour l’avenir

Chiffre d’affaires en baisse, missions de moins en moins fréquentes, soucis de trésorerie…la crise économique a atteint les bureaux d’ingénierie. Et le pire serait à venir.

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ORI, l'organisation professionnelle des bureaux d'ingénierie et de consultance en Belgique, publie son premier baromètre semestriel dépeignant le climat actuel du secteur de l’ingénierie en Belgique. Tous ses membres ont ainsi été interrogés dans le cadre d’une enquête portant sur leurs activités professionnelles du deuxième semestre 2012

Bernard Gilliot, Président d’ORI assure que «l’impact de la crise se faisait déjà fortement sentir fin 2012, mais que plus de la moitié des bureaux d’ingénierie belges craignent que la charge de travail et les revenus baissent davantage en 2013»

Aucun bureau ne se voit payer dans les 30 jours et environ 70% d’entre eux sont contraints d’attendre plus de 60 jours avant que les pouvoirs publics règlent leurs factures, alors que la loi prévoit un délai maximum de 50 jours.

Un quart des bureaux déclare vouloir agrandir son équipe en attirant du personnel supplémentaire, mais les choses se corsent ici aussi puisque dans 70% des cas il faut plus de deux mois afin de pourvoir un poste vacant. Le rapport complet est disponible sur vm@vademecom.be.

 

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